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Le numéro ISSN de la Revue Education & Formation est le : ISSN 2032-8184.
Le numéro « e-296 » sera consacré à la thématique « Développer et évaluer des compétences dans l'enseignement supérieur : réflexions et pratiques ». Il paraîtra en octobre-novembre 2011.
Le numéro « e-297 » sera consacré à la thématique « Ecole-Famille ». Il paraîtra en décembre 2011-janvier 2012.
Les numéros ultérieurs (e-298; e-299; e-300; e-301) sont en cours d'élaboration et seront consacrés aux thèmes suivants : « La professionnalisation des enseignants en formation initiale », « Les enseignants débutants » et d'autres à préciser. Plus d'informations à ce sujet vous parviendront. Publications envisagées courant 2012.
Dans le numéro « e-296 », un hommage sera rendu à Vincent Carette qui nous a quittés ce 26 janvier 2011. Tu es dans nos pensées Vincent.
Rédacteur en chef
Bruno De Lièvre
Université de Mons
revue_redac@umons.ac.be
Ce numéro thématique est coordonné par Bernadette Charlier (Université de Fribourg – Suisse) et Nathalie Deschryver (Formation Universitaire A Distance, Sierre – Suisse).
Ce numéro thématique est coordonné par Willy Lahaye (Université de Mons) et les propositions d'articles répondent à l'appel suivant :
« De longue date, la famille et l'école ont souvent été considérées comme des institutions dont les missions sont différentes : l'école enseigne, la famille éduque. Les relations actuelles entre ces deux milieux de vie de l'enfant sont à l'image de cette distinction historique des rôles. Les territoires des enseignants et des parents sont délimités et le passage de la porte ou de la grille de l'école désigne un transfert d'autorité qui fait passer l'enfant à l'état d'élève. Ce passage d'une juridiction à l'autre a longtemps laissé présupposer que l'école et la famille devaient limiter leurs interactions afin de prévenir le risque de provoquer la confusion des liens, des rôles, des pouvoirs et des savoirs.
Toutefois, le succès de l'apprentissage est au centre des relations entre l'école et la famille.
Les études accomplies dans ce domaine montrent que l'implication des parents dans la scolarité de l'enfant est un facteur déterminant de la réussite des jeunes. Il apparaît que l'enfant s'autorise à apprendre lorsque la famille l'y autorise. L'intériorisation du projet d'apprentissage par l'enfant passe par une reconnaissance de ce projet de la part des parents.
C'est pourquoi la famille est considérée comme un partenaire incontournable pour l'école.
Depuis les années 1970, nombreuses sont les initiatives qui tentent d'impliquer les parents dans le système éducatif [Deslandes, 2009]. Néanmoins, l'évaluation de la participation des parents au système scolaire montre bien souvent que l'implication des parents dans l'école reste timide ou constitue le résultat d'expériences privilégiées et limitées dans le temps. Et lorsque le partenariat éducatif se met en place, il est surtout l'apanage des milieux les plus favorisés ou les plus proches de la culture scolaire.
La plupart du temps, les relations école-famille donnent souvent l'impression soit d'un désert, soit d'un terrain miné [Dubet, 1997 ; Maschino, 2002]. Lorsque le milieu familial est plus fragilisé voire précarisé, il reste à l'écart de l'école ou la côtoie par nécessité. Maintenus à distance l'un de l'autre, les deux camps se neutralisent à coups de regards méfiants ou d'observations suspicieuses.
Dans un tel climat de guerre froide, la confrontation directe est certes généralement évitée mais l'idée de co-éducation ne va nécessairement pas de soi. Bien souvent, l'écart entre la culture scolaire et le milieu familial est accentué par le sentiment d'une incompréhension mutuelle entre les acteurs : les enseignants osent à peine aborder les parents qui se tiennent à l'écart de l'école tandis que les parents les plus fragilisés préfèrent éviter tout contact craignant le risque d'être jugés et stigmatisés. Dans un tel contexte nombreuses sont les questions qui restent à investiguer. Quelles représentations les familles nourrissent-elles envers le monde scolaire ? Quelles fonctions attribuent-elles à l'école ? De son côté, quel regard l'école porte-t-elle sur les familles ? Quel type d'investissement attend-elle des parents ? Face à la diversité des milieux, comment ouvrir l'école et sa culture aux différences socioculturelles ? Quels types d'intervention socio-éducative peuvent faciliter la co-éducation entre l'école et la famille notamment dans les contextes les plus fragilisés ? Quelles formes de soutien faut-il mettre en œuvre afin de faire converger les synergies de l'école et de la famille dans le meilleur intérêt de l'enfant ? Quelles innovations sont porteuses d'avenir dans le domaine des relations école-famille ? Telles sont, parmi d'autres, les pistes de questionnement qui animent le présent numéro de la revue Education & Formation. »
Bibliographie
Deslandes R. (éd.), International perspectives on contexts, communities and evaluated innovative practices, London and New York, Routledge, 2009.
Dubet F. (éd.), Ecole-familles: le malentendu, Paris, Les Editions Textuel, 1997.
Maschino M., Parents contre profs, Paris, Fayard, 2002. »
Pour tout contact ou demande de précision : willy.lahaye@umons.ac.be.
D'autres numéros sont en cours d'élaboration (e-298 ; e-299 ; e-300 ; e-301), des informations relatives à leur programmation vont vous parvenir incessamment. Ils sont prévus pour courant 2012. Il nous faut encore déterminer l'ordre de publication et les délais associés. 4 numéros sont envisagés actuellement.
1. Proposition de Evelyne Charlier et Sandrine Biemar (FUNDP – Belgique) :
« La professionnalisation des enseignants en formation initiale »
Ce numéro reprendra partiellement des contributions de l'AREF 2010. Des informations plus précises sur les modalities pratiques vous parviendront sous peu.
2. Proposition de Véronique Francis (Maître de Conférences à l'IUFM Centre Val de Loire, Université d'Orléans) :
« Former et éduquer à la diversité. Questions vives et approches innovantes dans le secteur de la formation et l'éducation de la petite enfance. »
Dans notre contexte d'« interculturation du monde » (Demorgon, 2000) ou de « mondialisation culturelle » (Leclerc, 2000), la migration, dans ses aspects virtuels et concrets, touche à la fois les personnes, les pratiques et les savoirs. Chacun d'entre nous, en étant porteur de diversité et en en faisant l'expérience par ses déplacements réels ou virtuels, participe au mouvement d'interculturalités. De fait, les familles, les professionnels et les structures de la petite enfance (0-6 ans) font au quotidien l'expérience de la diversité et du pluralisme, ainsi que d'ajustements permanents aux variations.
Rares sont aujourd'hui les institutions qui ignorent la question de la diversité – culturelle, linguistique, ethnique, mélanique, sociale - qu'elles l'abordent de manière incidente ou qu'elles l'intègrent de manière explicite et réflexive dans les problématiques qu'elles traitent aux modèles de formation, aux pratiques, aux projets ou à leur analyse.
Cependant, alors que les approches interculturelles ont suscité un vif intérêt et qu'elles sont fréquemment convoquées, on ne peut négliger les tensions et paradoxes qui les traversent ou qui participent de leurs réceptions. En effet, le postulat selon lequel il conviendrait d'inciter les acteurs à traiter la diversité peut se heurter à des limites désormais identifiées. De la tentation de la conversion douce à celle de l'intégration assimilationniste, du sentiment de compassion aux pièges du déni ou de l'assignation, le risque est celui d'une impasse ou d'une mise à distance plus ou moins marquée de l'altérité. De fait, les approches prescriptives et en surplomb les possibilités de démarches d'élaboration commune et réflexive prenant comme base une approche humaniste, interactionniste et systémique.
Parmi les alternatives à cette possible impasse, l'expérience de l'Autre peut être pensée en s'intégrant soi comme Autre dans une culture de liens. L'espace où l'individu se construit à la croisée de cultures en contacts simultanés ou successifs est le lieu de déplacements fondateurs de construction d'une « culturalité » tenant compte de la porosité des cultures désormais « mouvantes » et « alvéolaires » (Abdallah-Pretceille, 2003). Si on identifie souvent les enjeux de cette question au regard des « minorités », il s'avère cependant que c'est bien l'ensemble de nos sociétés en mouvement que ce défi concerne.
L'objectif de ce dossier est d'explorer la question de la diversité au regard de la pensée migrante, dans les secteurs de l'éducation et de la formation, en contextes formels et informels. On explorera ainsi les conceptions de l'approche de la diversité, selon différents axes fréquemment distincts entre une approche « interculturelle » et celle d'une « interculturalité » ancrée dans la singularité des situations où s'engendrent les cultures. Les contributions à ce dossier auront pour objectif de mettre en visibilité l'expérience de l'altérité et de la diversité dans la communauté enfantine et éducative.
Trois axes seront plus particulièrement explorés :
Comment l'éducation à la diversité y est-elle abordée ? Quels contenus d'enseignement et de formation sont mobilisés comme passerelles vers la diversité ? Quels sont les déplacements qui ont eu lieu dans les programmes et dans les approches au cours des dernières décennies ? Comment la formation à l'interculturalité interroge-t-elle les questions de la diversité au sein du groupe en formation ? Quels sont les axes de réflexion plus particulièrement privilégiés ? Sur quels leviers les formateurs s'appuient-ils ou à quelles difficultés les formateurs sont-ils confrontés ? Quels sont les apports de la recherche sur les contacts de langue qui permettent de dépasser des conceptions encore parfois figées de l'approche des langues et des cultures, en particulier les approches du bilinguisme et du plurilinguisme ?
Au sein de la famille et dans ses rapports avec la communauté éducative, comment les parents abordent-ils les questions liées à la diversité ethnique, culturelle, linguistique, religieuse, familiale,… dans l'éducation de leurs enfants ? Quelles sont les dimensions prises en compte dans les choix et les pratiques éducatives des familles ? Comment ces choix et pratiques sont-ils négociés en situation de mixité conjugale au sein du couple, dans la famille élargie ou dans les situations de recompositions familiales ? Comment les enfants participent-ils de cette négociation, l'influencent-ils ou l'abordent-ils selon leur âge, leur rang dans la fratrie ? Quels sont les objets de la culture enfantine et familiale emblématiques de cette éducation à la diversité - jouets, livres, objets,… - et comment sont-ils intégrés dans les pratiques éducatives ?
De nombreuses recherches récentes ou plus anciennes rendent compte des possibles et des difficultés que rencontrent professionnels et parents dans ces situations de rencontres où de part et d'autre, le besoin et les tentatives de tisser une relation de confiance côtoient sentiments de méfiance et malentendus susceptibles de générer distance et tensions lorsqu'elles ne provoquent pas le retrait de certaines familles. Quelles sont les conditions pour développer et soutenir les contacts de langues et de cultures, pour favoriser l'adaptation de tous les enfants et lutter de manière précoce contre les exclusions ? Quelles sont les voies d'une éducation à la diversité ? On s'intéressera particulièrement dans cette partie aux actions de terrain et à leurs effets, qu'elles soient amorcées dans le cadre des politiques publiques, les professionnels ou initiées et suggérées par les parents et les enfants eux-mêmes.
Abdallah-Pretceille, M. (2003). Former et éduquer en contexte hétérogène. Pour un humanisme du divers. Paris : Anthropos/Economica. Brougère, G., Guénif-Souilamas, N. & Rayna, S. (2008). De l'usage de l'altérité pour comprendre le préscolaire. In Brougère G. & Vandenbroeck M., Repenser l'éducation des jeunes enfants (263-284). Bruxelles : P. Lang. Dasen, P. & Perregaux, C. (Éd.) (2000). Pourquoi des approches interculturelles en sciences de l'éducation ? Bruxelles : De Boeck. Demorgon, J. (2000). L'interculturation du monde. Paris : Anthropos. Demorgon, J. (2005). Critique de l'interculturel. L'horizon de la sociologie. Paris : Anthropos. Leclerc, G. (2000). La Mondialisation Culturelle : les civilisations à l'épreuve. Paris : PUF. Rayna, S., Rubio, M-N. & Scheu, (2010). Parents-professionnels : la coéducation en questions. Ramonville Sainte-Agne : Eres. Vandenbroeck, M. (2008). Eduquer nos enfants à la diversité sociale, culturelle, ethnique, familiale. Ramonville Sainte-Agne : Eres, 2ème éd°. Vatz Laaroussi, M., Kanouté, F., Rachédi, L., & Duchesne, C. (2005). Favoriser les collaborations familles immigrantes-école. Guide d'accompagnement. Sherbrooke : Éditions de l'Université de Sherbrooke.
3. Proposition de Ndella Sylla (Université libre de Bruxelles – Belgique) :
« Pratiques de formation et développement professionnel des enseignants de sciences et de mathématiques : regards croisés entre recherches et pratiques »
La composition du comité éditorial : Ndella Sylla (Université libre de Bruxelles), Louis De Vos (Université libre de Bruxelles), Denise Denise Orange Ravachol (Université de Nantes), Christian Orange (Université de Nantes). (D'autres membres issus de Suisse et du Québec pourront s'y ajouter à l'issue du colloque).
Ce numéro thématique qui traitera des problématiques suivantes : "Pratiques de formation et développement professionnel des enseignants de sciences et de mathématiques : regards croisés entre recherches et pratiques" fera suite au symposium du REF2011 à qui se dérouleront à Louvain-la neuve en Septembre 2011.
Résumé : L'objet de ce symposium est d'interroger l'articulation des pratiques de formation et du développement professionnel en général, et plus particulièrement pour les disciplines scientifiques (sciences, mathématiques), en insistant sur les dispositifs de formation novateurs basés sur la collaboration entre collègues et la création de communautés d'apprentissage et/ou de pratique au sein des établissements scolaires, des instituts de formation et/ ou des universités.
4. Proposition de Joachim De Stercke (Université de Mons – Belgique) :
« L'insertion professionnelle des enseignants débutants »
A l'aube d'une réorganisation structurelle des modalités de formation initiale des enseignants en Communauté française de Belgique, la question de leurs conditions d'entrée en carrière fait heureusement naître également une effervescence dans le monde de l'éducation. Si l'on peut se réjouir que le débat soit lancé publiquement, où en sont concrètement nos connaissances au sujet de cette problématique cruciale de l'insertion professionnelle des enseignants débutants ?
Depuis plusieurs dizaines d'années, de nombreux systèmes scolaires se sont dotés de programmes de soutien consacrés à la réduction du nombre d'abandons précoces de la profession par les nouveaux enseignants, ainsi qu'à l'amélioration de leurs compétences professionnelles. A l'origine isolées, ces initiatives ont à présent valeur de standard de qualité dans le paysage éducatif mondial, et s'appuient sur diverses mesures d'assistance dont le mentorat représente l'exemple le plus répandu (Smith & Ingersoll, 2004).
En Communauté française de Belgique, « La profession qui dévore ses jeunes » (Halford & Hensley, 2002 ; cités par Martineau & Ndoreraho, 2006) ne rencontre encore aucune résistance officielle et continue de faire des victimes dans les rangs des enseignants débutants (41% dans le secondaire selon une étude de 2010*). En revanche, localement, des dispositifs existent bel et bien pour faire face au défi de l'entrée en carrière.
Ce numéro d'Education & Formation propose de lever le voile sur un certain nombre de recherches et de projets innovants récemment conduits dans le domaine de l'aide à l'insertion professionnelle des enseignants débutants, en se fixant comme gardes fous le sens de la rigueur et la valeur d'utilité. L'appel à communications pour ce numéro concerne donc à la fois des issues scientifiques et des retours d'expériences du terrain, articulés sans distinction autour d'une préoccupation d'action qui se fait des plus pressantes à nos yeux.
Les communications sont regroupées selon trois axes complémentaires :
Références :
*De Stercke, J., Renson, JM., De Lièvre, B., Beckers, J., Leemans, M., Temperman, G., Maréchal, C., Cambier, JB. (2010). Dynamiser l'insertion professionnelle des enseignants débutants du secondaire. Rapport final de recherche, Bruxelles : Ministère de l'enseignement obligatoire de la Communauté française de Belgique.
Martineau, S. & Ndoreraho, M.A. (2006). Une problématique des débuts de carrière en enseignement. Université de Québec à Trois-Rivières.
Smith, T. M., & Ingersoll, R. M. (2004). What Are the Effects of Induction and Mentoring on Beginning Teacher Turnover? American Educational Research Journal, 41(3), 681-714.
Concernant les numéros à venir, nous envisageons d'en structurer certains autour d'une thématique. Un numéro thématique sera coordonné par un « éditeur invité » qui proposera le thème auquel notre comité éditorial aura donné son aval.
Pour l'instant, trois numéros thématiques sont définis :
Par ailleurs, plusieurs autres numéros basés sur les publications issues de colloque sont également prévus :
Si vous souhaitez :
Proposer vos services comme « éditeur invité » pour un numéro à identifier, nous recevrons vos propositions de thème à traiter à l'adresse électronique suivante : revue_redac@umons.ac.be en indiquant clairement le numéro auquel vous contribueriez ainsi que vos nom, prénom, institution d'origine, adresses courrier et électronique.
En parallèle aux numéros thématiques, vous pouvez toujours soumettre en article qui apparaîtrait de manière indépendante dans le même numéro.
La sélection définitive des articles, qu'ils soient ou non intégrés à une thématique, s'opèrera selon une procédure identique de double relecture par des membres du Comité de lecture.
Pour ce faire, nous attendons vos propositions d'articles à l'adresse électronique suivante : revue_redac@umons.ac.be en indiquant clairement vos nom, prénom, institution d'origine, adresses courrier et électronique.
Les principes suivants s'appliquent aux articles et rubriques soumis à la revue :
Procédure de soumission
La Revue Education & Formation accepte deux types de contribution : les articles scientifiques et les rubriques.
Les articles scientifiques comprennent entre 10 et 20 pages (en comptant environ 400 mots par page). Articles de synthèse ou communications de résultats de recherches, ils doivent rendre compte d'un travail original et faire preuve d'une rigueur scientifique exemplaire. Ils doivent être précédés d'un résumé en français d'environ 200 mots et doit être suivi d'une courte biographie de chacun des auteurs.
D'autres textes peuvent être acceptés sous forme de rubriques. Ils sont plus courts (3 à 10 pages). Ils ont un rôle informatif, donnant par exemple une photographie de pratiques innovantes à un moment donné, ou correspondent à des points de vue, des prises de position pouvant susciter des débats. Ils doivent être précédés d'un résumé en français d'environ 100 mots et doit être suivi d'une courte biographie de chacun des auteurs.
L'article sera évalué selon la procédure de sélection décrite ci-après. Prière de bien vouloir accompagner les articles d'une page de garde fournissant les informations suivantes (cette page servira uniquement pour la gestion des articles et ne sera pas transmise aux relecteurs) :
Les propositions d'articles doivent être envoyées à : revue_redac@umons.ac.be en joignant le document en joignant le document à soumettre aux relecteurs.
Un accusé de réception vous sera envoyé dès l'enregistrement de votre soumission.
Le document transmis sous un format (.doc) devra respecter dès la soumission le format de présentation des articles décrit ci-dessous.
Tous les articles de la Revue Education & Formation suivent un format de présentation précis. Veillez à le respecter scrupuleusement faute de quoi votre article pourrait ne pas être publié.
Procédure de sélection
La Revue Education & Formation est une revue scientifique à comité de lecture, dès réception d'une proposition d'article, le comité de lecture vérifie qu'elle entre bien dans le champ de la revue. Si ce n'est pas le cas, les auteurs sont avertis rapidement que leur proposition ne sera pas examinée plus avant.
Dans le cas où le comité de lecture juge que la proposition est recevable, il désigne deux lecteurs.
Les lecteurs ainsi désignés disposent d'environ un mois pour rendre leur expertise.
Au vu des évaluations établies par ces lecteurs, le comité de lecture décide :
Lors d'une seconde soumission, ce sont les mêmes lecteurs qui évaluent la version prenant en compte les modifications demandées lors de la première évaluation. Cette seconde soumission est soit rejetée soit acceptée (éventuellement avec des modifications mineures). Notons que ce dernier cas de figure est le plus fréquent et manifeste un travail commun des auteurs et des comités de la revue pour améliorer la qualité scientifique des papiers publiés.
En cas de désaccord entre les deux lecteurs sur l'évaluation, que ce soit lors de la première ou de la deuxième soumission, le comité de lecture peut, avant de prendre sa décision, nommer un troisième lecteur pour établir une synthèse des deux premiers avis.
Lorsqu'un article est accepté par le comité de rédaction, l'auteur en est informé et doit vérifier que la mise en forme de son papier correspond bien au format de présentation des articles décrit ci-dessous.
Entre la soumission d'un article et la réponse du comité de lecture aux auteurs, le délai habituel est de 2 à 5 mois.
Cette section décrit les formats de présentation que doivent respecter les articles acceptés scientifiquement par le comité de lecture de la revue. Veillez à les respecter avec le plus grand soin pour faciliter la publication du document.
Il est fortement recommandé d'utiliser Word et le "educationetformation_modele-apa.doc" qui inclut toutes les caractéristiques ci-dessous. Lors de la mise en ligne des articles acceptés, le fichier subit un traitement automatisé. Il est particulièrement important de respecter à la lettre ce modèle. Attention, surtout ne pas ajouter de styles supplémentaires.
Consignes à respecter
Ce texte donne les consignes à respecter pour garantir la qualité et l'homogénéité des articles de la Revue Education & Formation. Il doit être considéré comme un modèle, notamment pour la première page, l'en-tête, les inters, etc. Ce document incorpore les styles qui permettent le respect de ces consignes. En particulier ces styles permettent aussi d'éviter l'ajout de lignes blanches avant et après certaines parties, comme le mentionne le descriptif en cas d'usage sans styles.
Introduction
Ce texte donne les consignes à respecter pour garantir la qualité et l'homogénéité des articles de la Revue Education & Formation. Il doit être considéré comme un modèle, notamment pour la première page, l'en-tête, les inters, etc. Ce document incorpore les styles qui permettent le respect de ces consignes. En particulier ces styles permettent aussi d'éviter l'ajout de lignes blanches avant et après certaines parties, comme le mentionne le descriptif en cas d'usage sans styles.
Présentation
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Titres et sous-titres
Première page de l'article
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Le résumé et les mots-clés sont composés en corps 9 italique maigre, minuscule, (sauf les termes : RÉSUMÉ. MOTS-CLÉS: qui sont en capitales accentuées en corps 7) interligné 11 points et espacés de 3 pts entre les paragraphes. Le premier paragraphe (résumé) est bordé d'un trait supérieur fin distant de 4 pts et le dernier (MOTS-CLÉS) est bordé d'un trait inférieur fin distant lui aussi de 4 pts.
Titre des paragraphes ou titre d' « inter »
Ils sont tous alignés à gauche, sans alinéa, en numérotation décimale :
Chaque titre d'inter de premier et deuxième niveaux est précédé de deux lignes de blanc et suivi d'une ligne de blanc ; chaque titre d'inter de troisième et quatrième niveaux est précédé d'une ligne de blanc et suivi d'une 1/2 ligne de blanc (6 pts).
Les inters ne doivent pas être isolés en bas de page, mais toujours suivis d'un paragraphe (format>paragraphe>enchaînement>paragraphes solidaires)
Les alinéas
Ils sont de 5 mm. <Format>paragraphe>retrait>1ère ligne>positif>0,5cm.
Les notes de bas de page
Elles sont en corps 9, interligné 11 points, justifié sans alinéa, numérotées de 1 à n à l'intérieur de l'article, surmontées d'un filet maigre de 2,5 cm. L'appel de note dans le texte est en corps 8.
Figures et tableaux
Les figures, illustrations et tableaux doivent être incorporés au texte. Les figures et illustrations sont numérotées de 1 à n à l'intérieur de l'article, les tableaux également. Des légendes explicites les accompagnent, composées en Times corps 10 justifiées, sans alinéa, Figure x en romain gras suivi d'un point gras, texte en italique maigre.
Cadre et quadrillage en trait fin. Une ligne de blanc au-dessus, une ligne de blanc entre la figure ou le tableau et la légende. Une ligne de blanc sous la légende.
Figure 3. Consignes
Formules
Les formules qui font l'objet d'un renvoi dans le texte sont numérotées de [1] à [n] entre crochets. Ce numéro, placé sur la première (ou la dernière) ligne de la formule, est aligné sur la marge de droite. Une ligne de blanc au-dessus et au-dessous de la formule la sépare du texte. Si la formule doit être coupée (pour cause de longueur) mettre 1/2 ligne de blanc entre les lignes de l'expression.
Remarque ou note
Les termes « remarque » ou « note » se composent en petites capitales maigres suivies d'un point, puis d'une espace, puis d'un tiret long :
NOTE. — … REMARQUE. — …
Typographie
Remerciements
Le texte des remerciements se place après la conclusion, séparé de celle-ci par deux lignes de blanc, avant la bibliographie, sous la forme suivante :
Remerciements
Les auteurs tiennent à remercier le laboratoire pour son soutien…
Bibliographie et références dans le texte (normes APA)
Les normes APA sont d’application tant pour la bibliographie que les références aux auteurs dans le texte (voir informations par ailleurs dans le fichier attaché « normes_APA.pdf »)
Dans le texte et dans la partie intitulée « Bibliographie », leur citation, du type Kolski, M. (1997), est donc écrite avec la première lettre en majuscules et les autres en minuscules.
Dans le texte, elles sont composées en Times New Roman, corps 10. Dans la bibliographie, les références sont rassemblées en fin d’article par ordre alphabétique et sont justifiées avec un alinéa négatif de 5 mm (Format > Paragraphe > Retrait de 1re ligne Négatif de 0,5 cm). Elles sont composées en corps 9 romain, interligné 11 points, espacées les unes des autres de 6 points.
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Télécharger le document pour la mise en forme bibliographique (normes_APA.pdf).
Publié avec l'aide financière du Fonds de la Recherche
Scientifique - FNRS
et avec l'appui de l'Administration générale de la Recherche scientifique.
Service général du pilotage du système éducatif
Dernière mise à jour le 18 Janvier 2011.